JEUNE FEMME A LA RUE

JEUNE FEMME A LA RUE | Collecter de l'argent
 
 

Bonjour, avant que vous lisier cette histoire, je tenais a vous dire que je suis une personne sérieuse et que malgré tous ça je suis encore a l'école.

Ma mère m'a mise a la rue, il est temps que je trouve un appartement et que je me relance, donc j'aurais besoin d'aide.

Voici mon histoire

J’ai toujours eu une famille dysfonctionnelle, donc les compliments, les pensées positives, le soutien, la bienveillance, l’écoute n’ont jamais fait partir de ma vie de mes 0 à 21 ans. 


J’ai commencé à vraiment ressentir ce dysfonctionnement vers l’âge de mes 13-14 ans, ma mère est une mère dite « jalouse de sa fille », je mets des guillemets, car je ne suis pas là pour attaquer quiconque, je suis là pour énoncer des faits que j’ai endurés et subis, des faits qui m’ont brisé et qui on faillît me faire passer a coté de l’une des choses les plus importante dans ce monde : LA CONFIANCE EN SOI.
Je vais vous raconter quelques anecdotes qui ont littéralement brisé ma confiance.

J’ai été très vite sexualisé, ayant subi des attouchements, très jeune, et étant de nature assez renfermé de base, j’ai eu beaucoup de mal a crée du lien avec les gens, car pour moi, tout le monde allait me faire du mal.
J’ai eu beaucoup de mal à parlé de ce traumatisme, et le jour où j’ai décidé de le dire à ma mère, elle a eu une réaction très dysfonctionnelle, elle m’a accusé d’avoir provoqué ce qui m’étais arrivé, pour elle, j’ai appâtés l’homme qui m’avait, qui m’a violé, et il n’y avait pas d’autre explication, et que si j’avais vraiment été violé, je n’aurais pas eu un petit copain.

J’ai subi mon viol à l’âge de 11 ans et je lui en ai parlé à l’âge de 16 ans.

Je n’aurais jamais dû lui confier, j’oubliais que je n’avais pas une mère bienveillante, bien qu’elle-même avait subi ce genre de traumatisme, j’aurais dû me taire.

Concernant l’histoire du petit copain, c’étais une amourette sans trop d’ambiguïté, ce garçon était charmant et très gentille donc nous sortions ensemble. 

Il a toujours, été respectueux, et n’a jamais bafouez mon intégrité, et quand bien même je ne savais pas que par ce que j’avais subis un viol, je ne pouvais plus vivre normalement et essayer de me reconstruire après, c’est 5 années de souffrance silencieuse.


Je tombais des nues, je me suis senti totalement abandonné et délaisser à ce moment, que mon manque de confiance a commencé à s’installer quotidiennement dans mon être. 

J’en suis même venue à me dire, qu’il était normal, que les gens me fasse du mal et que le bonheur était un concept qui n’était pas fait pour moi, donc que si tout se passait mal, cela était normal.

Bien évidemment, après cet épisode, j’ai rompu 2 jours après avec ce charmant jeune homme en lui pesant comprendre que je n’avais pas le droit, et que je ne pouvais pas lui expliquer pourquoi.
Cela nous a fait du mal à tous les deux, par la suite nos chemins, se séparer, en bons termes.

J’ai tenté de me suicider 2 fois, car je me sentais de plus en plus mal, j’avais l’impression que je ne devais pas vivre ma vie, et que je ne devais pas être heureuse.
Vous voyez à quel point le poids des mots peut avoir un impact considérable, sur notre confiance et notre santé mentale ?

Je me rappelle même d’une autre fois, j’’étais en pleine recherche, concernant les études que je voulais faire, ma mère avait appelé tous les membres de ma famille : et ils m’ont posé la question de ce que je voulais faire plus tard, j’étais si jeune et pleine d’enthousiasme, j’avais tout prévu, je finissais mon bac technologique, et ensuite, je m’inscrivais en BTS coiffure pour ouvrir mon salon et ma marque de coiffure : tous étaient planifiiez.

Alors j’ai répondu : « Moi, je veux devenir coiffeuse, comme ça, je pourrais ouvrir mon salon, et vendre mes produits de beauté ». 

Ils ont tous ri de moi, comme-ci mon rêve était stupide comme-ci j’étais mécréante et que ce que je disais n’avais pas de valeur, j’ai eu honte.

À cet instant, je me suis complètement renfermé sur moi-même et je n’osais plus, la peur s’installait.

La peur d’essayer, de montrer qui j’étais, de révéler ma personnalité, qu’on se moque encore de moi.
Cela m'a brisé.
Peut-être que pour certains et certaines cela semble n’être rien, mais ces situations, je ne les souhaite à personne surtout si cela vient de votre famille.

je suis désolé de demander mais meme si vous mettez 1 euros symbolique ca sera déja bien

merci d'avoir lu.



Aucune mise à jour n'a encore été publiée pour cette campagne.








0 dons
0,00 €
objectif: 3 000,00 €
0%

Vous pouvez maintenant être le premier à soutenir cette campagne! Faites un don et ajoutez éventuellement un message personnel.